11Tout cela renvoie aux activités de Callimaque Chaussures Nike Air Presto Homme P7 Vert Noir comme philologue antiquaire, auteur de catalogues sur les jeux athlétiques ou les merveilles du monde. Ainsi, dans le fr. 403 Pf., qui est plut?t une référence bibliographique (hos dêlon poie? Kallmakhos vente chaussure sur internet en t?i Per agnon comme le démontre Callimaque dans son traité Sur les concours), issu des travaux d'Harpocration d'Alexandrie (Ier / IIe s.), à propos des jeux d'Actium, en l'honneur d'Apollon, dont nike blazer vintage solde Callimaque atteste l'ancienneté, s'intégrant dans baskets de fitness femme une double tradition, où Pindare est un objet d'étude central, qu'il s'agisse d'histoire culturelle, comme chez jordan montant femme Strabon (sur la même question, VII, 325), ou, plus proprement, de critique littéraire. Ce type de réflexion appara?t, en retour, dans les scholies à Pindare, par exemple Py. II inscr., où Callimaque est cité (fr. 450 Pf.) pour l'identification d'une victoire de Hiéron de Syracuse, néméenne à son avis. De même dans les fragments transmis par l'Histori?n paradks?n sunagogé (Recueil d'histoires extraordinaires) d'Antigonos de Caryste7, issus du catalogue callimachéen intitulé Thaumton t?n eis hpasan tèn gên katà tpous nton sunagogé(litt. Recueil des merveilles réparties sur toute la terre): le fr. XII 140 évoque la source Aréthuse, à Syracuse, mais c'est Antigonos qui ajoute la référence à la première Néméenne, v. 1,de Pindare (mpneuma semnn Alpheo? / kleinan Surakossan thlos Ortuga repos sacré de l'Alphée, jeune pousse de la glorieuse Syracuse, Ortygie), faisant du poète thébain un étiologue propre à compléter les travaux scientifiques de l'Alexandrin. Enfin, il peut être amusant de voir comment l'uvre poétique de Callimaque conna?t un traitement similaire à celui qu'il a lui même fait subir à certains poètes, dont Pindare: les fr. 668 673 Pf., issus de scholies anciennes à Pindare8, et le fr. 676, issue d'une scholie à Platon, Lysis, 206 E, ne sont pas tous retenus par la philologie contemporaine comme dignes d'un recueil de fragments poétiques; Y. Durbec, qui donne ce dernier titre à son édition, élimine ainsi les fr. 674, certes plus critique que proprement poétique (voir plus haut), et 675, certes très peu lisible.